Rhus chinensis  - Sumac de Chine
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    rhus chinensis
    University of Delaware ©
    Nom commun : Sumac de Chine, nommé par les anglophones 'Chinese gall'.
    Nom latin : Rhus chinensis Mill.*
    famille : Anacardiaceae
    catégorie : arbuste
    port : érigé
    feuillage : caduc, rouge en automne
    floraison : fin été
    couleur : jaune
    fruits : drupes d'un rouge-orange.
    croissance : moyen.
    hauteur : 5 à 6 m, étalement 5 à 6 m
    plantation : automne ou printemps.
    multiplication : bouture en été, semis
    sol : frais, drainé, plutôt riche, même calcaire.
    emplacement : soleil.
    zone : 6-9 , U-K hardiness H , USDA zones
    origine : Chine et Japon.
    entretien : taille éventuelle au début du printemps.
    NB : son nom Rhus vient du mot grec 'rhous', mot qui désigne déjà le genre pour les Grecs et les Romains, mot qui aurait une origine celtique et son nom spécifique chinensis  pour nous spécifier son origine chinoise. Le nom de Sumac vient de l'arabe 'summaq ou sommaq' qui signifie rouge, le nom du Sumac en poudre en arabe est 'Mshuq alsamaq'.
    Ce genre comprenait 540 noms d'espèces référencés, après révision en mars 2013, seulement 131 ont été retenus avec 69 autres noms comme synonymes et 340 autres noms demeurent à ce jour non résolus ; des espèces d'arbres, arbustes et/ou vivaces grimpantes, caduques ou persistantes, originaires de l'Afrique du Nord (Algérie, Maroc), de l'Afrique du Sud et de l'Australie, du sud et sud-est de l'Europe (Espagne, Portugal, France, Italie et Sicile, l'ouest des Alpes, au Tyrol, le long de l'Adriatique dans la péninsule des Balkans, Albanie, l'ancienne Dalmatie et Illyrie), et 1 espèce mexicaine, une jamaïcaine et une autre japonaise et une vingtaine des États-Unis et 3 espèces au Canada.

    Dans l'abécédaire, consulter la liste des 9 autres espèces présentes dans l'Encyclopédie.

    Annotations :
    *Mill., abréviation botanique pour le jardinier, botaniste écossais Philip Miller (1691-1771), nommé surintendant en chef du Jardin botanique de Chelsea (Apothecaries’ Garden, 1673), l'un des plus anciens jardins botaniques, aujourd'hui connu, sous le nom de Chelsea PhysicGarden de Londres.
    On lui doit la référence pour les jardiniers du 18e siècle 'The Gardener's Dictionary' du jardin de Chelsea, édité à Londres de 1755 à 1760, illustré de nombreuses gravures d'Ehret, Lancake et John Miller.
    Dans ce vieux jardin botanique, il y cultive, en 1757, de nouvelles espèces, telles que l'Arum d'Éthiopie et la Pervenche de Madagascar, adressée, depuis le jardin du Roy de Paris.
    nmauric © 05.06.2000 ® Jardin ! L'Encyclopédie
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