Aesculus hippocastanum - Marronnier d'Inde
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    Marronnier - Penza, Russie
    Tatyana Belyavskaya © 2014
    Nom commun : Marronnier d'Inde (appelée à tort d'ailleurs), Marronnier commun, Châtaignier des chevaux, nommé par les anglophones 'Horse-chestnut, Buckeye tree', en allemand 'Gewöhnliche Rosskastanie', en rspagnol 'Castaño de Indias, en italien 'Ippocastano, Castagno d'India', en néerlandais 'Paardekastanje', en portugais 'Castanha da índia - Castanheiro-da-índia, en russe 'Konskiy kashtan'.
    Nom latin : Aesculus hippocastanum L.*, synonymes retenus Aesculus asplenifolia Loudon*, Aesculus memmingeri K.Koch, Aesculus procera Salisb., Aesculus septenata Stokes, Hippocastanum vulgare Gaertn., Pawia hippocastanum Kuntze, non résolu en 2020 Hippocastanum aesculus Cav., 7 synonymes sous la forme var. et 2 sous f., consulter The PlantList.
    famille : Hippocastanaceae (Aesculaceae).
    catégorie : arbre à l'écorce d'un brun-rougeâtre ou brun grisâtre et lisse chez les jeunes sujets se desquamant progressivement et irrégulièrement sur les sujets adultes, il a des racines traçantes et les vents violents peuvent briser les branches.
    port : dense, ramures descendantes à cime ovale.
    feuillage : caduc, gaufré vert clair à vert soutenu. Grandes feuilles de 15 à 25 cm x ± 9 cm, opposées, palmées, obovales à 5 à 7 larges folioles obovales acuminés et sessiles à marge dentelée. En hiver, on peut apercevoir les gros bourgeons rougeâtres, écailleux et visqueux.
    floraison : au printemps, d'avril à juin selon le climat, parfumée et nectarifère, visitée entre autres par les abeilles.
    Grands thyrses de 20 à 30 cm, de petites fleurs symétriques aux 4 pétales froissés, 2 latéraux en forme de massue, les deux autres plus étroits à la marge pourvue de frange, 7 étamines saillantes, court calice duveteux à à 5 dents.
    couleur : blanc pur à blanc crème, tacheté de jaune ou de rose ou rouge, voire brun rougeâtre (à la base des 2 pétales supérieurs).
    fruits : capsules (bogues) globuleuses vertes de 6 cm, à piquants, renfermant de 1 à 3 graines non comestibles appelées marrons ou marrons d'Inde à paroi lisse, brillante, d'un brun rougeâtre à large hile blanchâtre. La première fructification a lieu vers la quinzième année.
    croissance : rapide.
    hauteur : 20-30 m et plus.
    plantation : automne ou printemps selon le climat.
    multiplication : par semis à l'automne de graines fraîches, car les propriétés germinatives sont de très courte durée.
    sol : drainé, plutôt riche et frais, il n'apprécie guère le calcaire.
    emplacement : soleil, mi-ombre ou ombre.
    zone : 3-9, U-K hardiness H7, USDA zones 4a-7b, tolère aisément - 20°C.
    origine : sud-est de l'Europe, du Caucase jusqu'aux Balkans, Albanie, nord de la Grèce et Asie mineure, dans les forêts de feuillus entre 700 et 1 200 m, aujourd'hui répandu dans toute l'Europe.
    entretien : pas de taille nécessaire, mais il la supporte et il repousse de souche.
    maladies et ravageurs : il peut être l'hôte à trois reprises durant l'année des larves et chenilles de la Mineuse ou Teigne minière Cameraria ohridella qui consciencieusement évident l'intérieur des feuilles provoquant la chute précoce du feuillage durant l'été. Il peut comme les autres du genre être aussi sujet à un champignon Guignardia aesculi qui provoque sur le feuillage l'apparition de taches d'un brun rougeâtre marginées de jaune.
    En Europe (en Allemagne, Belgique, France, Italie, Pays-Bas et Royaume-Uni), il est sensible comme les autres espèces du genre au chancre bactérien du marronnier Pseudomonas syringae, un chancre suintant qui s'attaque à toutes ses parties, signalant sa présence aussi par des taches sur les feuilles. Dans tous ces cas, il est important de ramasser la totalité du feuillage et de le brûler.
    Peut subir les assauts des cochenilles pulvinaires du marronnier d'Inde Pulvinaria regalis (Horse chestnut scale).
    NB : son nom générique Aesculus vient du latin où il désigne un chêne à glands comestibles et son nom spécifique hippocastanum vient du grec 'hippos' qui désigne le cheval et 'Kastanon' qui désigne la châtaigne faisant référence à la ressemblance entre les châtaignes et les marrons, donc hippocastanum pour rappeler qu'ils pouvaient être donnés sans excès aux chevaux, d'ailleurs en Turquie réduit en poudre, il était prescrit pour traiter les crises de pousse (maladie pulmonaire). Le nom de marronnier viendrait de l'italien parlé dans la région de Ligurie, 'mar' qui y désigne un caillou faisant allusion à son fruit en forme de caillou.
    Ce genre comprend une vingtaine d'espèces d'arbres ou d'arbustes caducs, originaire principalement des États-Unis (10 espèces), de l'Asie en zone tempérée, 5 sont présents en Chine dont 2 endémiques (et peut-être plus) et une seule espèce du sud-est de l'Europe.
    De l'Europe orientale, il a été introduit dans le reste de l'Europe, vers 1576, via semble-t-il, l'Autriche, et c'est Bachelier, qui, en 1615, l'introduit en France, et c'est Charles de l'Écluse qui s'attache à poursuivre les travaux de Pierre Belon sur son acclimation, l'époque des semis et la longévité de ses graines à qui l'on doit les premières réussites de l'acclimatation des marronniers.
    Vous pouvez encore admirer des sujets remarquables en France, notamment dans un parc d'une hostellerie à Vézac (Cantal), un remarquable marronnier de 400 ans et à Saint Cyr en Haute-Vienne, un autre sujet, âgé de plus de 216 ans (1790).
    Durant des siècles, il a été utilisé comme arbre d'ornement ou d'ombrage dans les parcs et grands jardins où il servait aussi de nourriture aux cervidés et bovidés, utilisé aussi comme arbre d'alignement le long des allées et avenues.
    Pour les petits jardins, il vaut mieux se tourner vers des plus petits marronniers, tel que, l'Aesculus pavia, il faut savoir que sous son dense couvert, les autres végétaux ne peuvent prospérer.
    Le Marronnier d'Anne Franck :
    Dans le centre d'Amsterdam à parti du 6 juillet 1942, pour échapper aux rafles organisées par les nazis, au 263 du Prinsengracht (canal du Prince), la jeune juive d'origine allemande Anne Frank (1929-1945) et les siens se sont cachés dans une annexe secrète aux fenêtres obscurcies, camouflée derrière les rayonnages d'une bibliothèque, dans l'immeuble, qui abritait les bureaux de son père. Ils y vivent confinés dans la clandestinité durant deux années ou par la lucarne du grenier, elle aperçoit les branches d'un marronnier, son seul contact avec la nature. Ils sont découverts et arrêtés par des policiers le 4 août 1944 puis déportés dans les camps d'Auschwitz, ils sont morts en février-mars 1945 au camp de Bergen-Belsen, Anne y est décédée du typhus.
    Dans son Journal* Anne Frank écrit :
    "23 février 1944 - Nous avons regardé tous les deux le bleu magnifique du ciel, le marronnier dénudé aux branches duquel scintillaient de petites gouttes, les mouettes et d'autres oiseaux, qui semblaient d'argent dans le soleil et tout cela nous émouvait...
    18 avril 1944 : Après notre petit hiver changeant, nous avons un printemps superbe, avril est en effet radieux, ni trop chaud ni trop froid, avec de temps à autre une petite giboulée. Notre marronnier est déjà passablement vert et on voit même poindre déjà çà et là de petites grappes de fleurs...
    Samedi 13 Mai 1944 , Très chère Kitty : Hier c'était ..., Notre marronnier est totalement en fleur ; de haut en bas, il est bourré de feuilles et beaucoup plus beau que l'an dernier. "
    Le 23 août 2010, le marronnier d'Anne Frank vers 13 h 30 a été abattu par de fortes rafales de vent ainsi que la structure en fer qui le soutenait depuis plusieurs années.
    Ce marronnier blanc de 20 mètres de haut était l'un des plus vieux marronniers d'Amsterdam, il se trouvait dans le jardin de la cour du numéro 188 Keizersgracht, il était âgé de plus de 170 ans, et lorsqu'en 2005, "quand on a su que l'arbre était très malade, des marrons ont été ramassés et cultivés pour en faire de jeunes arbres", a rappelé Hans Westra, directeur de la maison d'Anne Franck d'Amsterdam. Une centaine d'entre eux ont été offerts un peu partout dans le monde pour être plantés, l'un d'entre eux a été planté à Paris, à deux pas du Centre Beaubourg, dans le Marais - 3e Arrondissement, 14 impasse Berthaud au jardin Anne Frank le jour de son inauguration en avril 2007 en présence du maire de l'arrondissement Pierre Aidenbaurm, d'Hans Westra, directeur de la maison d'Anne Franck et de Pierre Delanoë maire de Paris.
    En 2013, après 3 ans de quarantaine, les derniers jeunes arbres du projet de semis de la maison d'Anne Frank ont été plantés aux États-Unis, notamment le mercredi 30 avril 2014 dans une des pelouses du Capitole (Congrès américain) à Washington, un autre près du Mémorial du 11 septembre à New-York ainsi que dans le sud de l'Arkansas au lycée de Little Rock, épicentre du mouvement de lutte contre la ségrégation à la fin des années 1950, tous des lieux qui ont connu des incidents spécifiques d'intolérance. A Amsterdam, en 2009, plus de 150 sujets ont été plantés dans le parc boisé "Amsterdam bos" et la fondation Wereldboom, s'est engagée à fournir l'authentique descendance de l'arbre d'Anne Frank.
    Parmi les cultivars, citons :
    - Aesculus hippocastanum 'Baumannii', recherché pour sa longue floraison, thyrses d'environ 30 cm de fleurs doubles blanches, dépourvu de fructification.
    - Aesculus hippocastanum 'Digitata' au feuillage profondément incisé de plus petite taille que les autres cv.
    - Aesculus hippocastanum 'Incisa' au feuillage largement incisé.
    - Aesculus hippocastanum 'Hampton Court Gold', plus ou moins 12 m pour une envergure de 6 à 8 m adulte, son feuillage, au débourrage, est jaune pâle puis jaune verdâtre au coeur de l'été pour virer à l'automne au jaune d'or. Il a été primé par la RHS* avec The Award Garden of Merit (AGM), UK hardiness H7.
    - Aesculus hippocastanum 'Laciniata' au mince feuillage lacinié.
    - Aesculus hippocastanum 'Luteo variegata' feuillage panaché de crème, floraison blanche, griffée de rouge.
    - Aesculus hippocastanum 'Plantierensis', une ancienne obtention de 1894, des horticulteurs messins Simon-Louis Frères, issue de croisements entre Aesculus hippocastanum et Aesculus x carnea, un grand sujet de 12-15 m, thyrses étroits d'un jaune pâle griffé de rose chair, pas de fructification.
    - Aesculus hippocastanum 'Pyramidalis' à cime étroite et compacte, environ 8 m de haut pour un étalement de 4 à 6 m.
    - Aesculus hippocastanum 'Umbraculifera' de plus petite taille à cime arrondie.
    Propriétés et utilisations :
    Son bois n'est pas de bonne qualité, mais son écorce, riche en vitamine P, en hétérosides coumariniques et en tanins, est depuis toujours dans les pharmacopées traditionnelles, elle est réputée pour ses propriétés fébrifuges, astringentes, antihémorragiques, anti-inflammatoires, toniques et vasoconstrictrices, dans l'industrie pharmaceutique, elle entre dans la composition de préparations pour traiter les troubles de la circulation sanguine (oedèmes, phlébites, varices), les hémorroïdes, les dysménorrhées et elle serait efficace pour traiter l'hypertrophie de la prostate.
    Les marrons d'Inde contiennent des saponines, les aescines qui ont des propriétés insecticides qui ont la capacité de repousser certaines espèces d'insectes, dont les araignées. Dans certaines régions, les croyances locales transmises de génération en génération, font qu'à l'automne, il est de mise, de poser des marrons fendus sur le rebord des fenêtres pour que les araignées ne viennent pas se réfugier à l'intérieur.
    Marrons d'Inde sur le canal Zähringer à Schwetzingen
    Andreas Rockstein © sept 2018 Flickr
    Quelques autres espèces :
    - Aesculus chinensis Bunge., Marronnier de Chine (T'ien Shih Li), originaire du nord de la Chine dans la province du Séchouan, dans celle du Henan, Hebei et de Shanxi , un arbre de ± 25 m de haut, aux fleurs blanches tachetées de jaune.
    Dans la pharmacopée chinoise, son fruit 'Sou Lou zi', est prescrit pour traiter le paludisme, les troubles digestifs, ballonnements, douleurs abdominales, les épigastriques et les dysenteries. Des études menées en 2022 ont révélées que les saponines triterpéniques contenus dans les marrons, les aescines, aux propriétés antiinflammatoires, ont aussi des effets sur le virus HIV et une action antitumorale qui réduisent la prolifération des leucocytes dans les cas de leucémie et les flavonoïdes présents sont actifs sur le virus RSV (Virus Respiratoire Syncytial) chez les nourrissons (début octobre et fin mars), l'influenza et para-influenza.
    - Aesculus indica Camb) Hook., originaire du nord-est de l'Himalaya, environ 30 m de haut écorce d'un gris rougeâtre, au printemps (mai-juin) thyrse de fleurs blanches griffées de jaune et rouge (pétales supérieurs), étamines saillantes d'un rose soutenu, il se différencie par des feuilles à folioles pétiolées.
    - Aesculus flava Soland, synonyme Aesculus octandra Marsh, appelé Marronnier jaune, originaire du sud-est des États-Unis en altitude, 15 à 25 m de haut, courant mai-juin, étroits thyrses de fleurs d'un jaune pâle griffé de rose parfois d'un rose soutenu également griffé de jaune, fruits à l'enveloppe lisse, feuilles à 5 - 7 folioles courtement pétiolées, localement son bois est utilisé pour confectionner de la pâte à papier.
    - Aesculus glabra Willd, Marronnier glabre, originaire du sud-est et du centre des États-Unis, ± 20 m, à l'écorce d'un gris foncé, étroits thyrses jaune pâle aux étamines saillantes, feuilles à 5 étroites folioles effilées et pétiolées, fruits épineux.
    - Aesculus wilsonii Rehd, Marronnier de Wilson, originaire de l'Asie (Chine), ± 25 m, à fleurs parfumées blanches. Dans les pharmacopées asiatiques, ses marrons sont utilisés pour traiter les rhumatismes et les problèmes d'estomac.

    Dans l'abécédaire, consulter la liste des autres espèces de maronnier, présentes dans l'Encyclopédie.

    Annotations :
    *Journal d'Anne Franck, publié en France en 1950, son journal intime deviendra l’un des dix ouvrages les plus lus au monde, traduits dans plus de traduit dans 67 langues. Patrimoine documentaire soumis par la Hollande en 2008 et recommandé à l'inscription au Registre Mémoire du monde en 2009, le consulter.
    Jeudi 5 octobre 2017 à ce jour "Malgré des décennies de recherches, rien n’a prouvé qu’il y a eu au départ une trahison. Nous sommes donc intéressés par les résultats de cette nouvelle enquête », déclare Ronald Léopold, le directeur de la Maison Anne Frank qui a ouvert ses archives" lire article dans l'édition du soir de Ouest-France.
    *K.Koch., abréviation botanique pour l'abbé Karl Heinrich Émile Koch (1809-1879), botaniste, dendrologue et collecteur allemand, nommé à Berlin, directeur du Jardin botanique de l'Université Humboldt où il enseigne, il effectue des séjours dans la région du Caucase et en Turquie.
    *L., abréviation botanique pour le botaniste-naturaliste suédois Carl von Linné (1707-1778), avant d'être anobli en 1757 Carl Linnæus, également médecin, à qui l'on doit la classification des végétaux, des minéraux et des animaux et la nomenclature binominale, basée sur la juxtaposition de deux mots en principe en latin, désignant le genre suivi du nom de l'espèce, c'est la base de la taxonomie et de la nomenclature internationale.
    Durant ses études de médecine, il entame la réalisation d'un herbier de la flore de Laponie qui sera suivi d'un ouvrage 'Flora lapponica'., son herbier, le plus riche de son époque contenait 7 000 plantes.
    Il enseigne à l'Université d'Uppsala, durant une année, à partir de 1741, la médecine, puis la botanique, jusqu'en 1772. En 1738, il fonde l'Académie des Sciences de Suède.
    Il est l'auteur de 'Systema naturae, Genera plantarum' et 'Species plantarum', consultable en ligne à la bibliothèque universitaire de Kyoto.
    *Loudon, jardinier paysagiste et architecte écossais John Claudius Loudon (1783-1843), il fut aussi un fort célèbre journaliste horticole (Gardener's Magazine), façonnant le goût des jardins, parcs puis de l'architecture des banlieues de l'ère victorienne. Auteur de 'An Encyclopaedia of Gardening' (1822) et 'Arboretum et Fruticetum Britannicum' édité en 1838, avec son épouse Jane C. Webb Loudon (1807-1858), 'Loudon's encyclopaedia of plants; comprising the specific character, description, culture, history, application in the arts, and every other desirable particular respecting all the plants indigenous to, cultivated in, or introduced into Britain' - Londres 1866.
    *RHS., abréviation pour The Royal Horticultural Society, la Société Royale d'Horticulture, fondée à Londres, le 7 mars 1804, elle décerne chaque année à de nouvelles obtentions, "The Award of Garden Merit" (AGM), au cours du Chelsea Flower Show, qui se déroule 5 jours durant, du 23 au 27 mai à l'Hôpital Royal de Chelsea, à Londres. C'est l'une des plus grandes expositions florales au monde.
    Cette distinction, l'AGM, est la référence qui aide chaque année, les jardiniers britanniques à choisir les meilleures plantes pour leur jardin.
    La RHS à partir de 1869, décerne chaque année la Médaille commémorative Veitch 'en l'honneur de James Veitch*, qui est décernée à des jardiniers, des collecteurs, des botanistes ou des scientifiques de toute nationalité, qui ont contribué et marqué leur époque par leurs actions.
    *Veitch. horticulteur-explorateur écossais John Gould Veitch (1839 – 1870), qui recueille des espèces à travers le monde pour le compte des célébrissimes pépinières James Veitch & Sons (1808) d'Exeter, comté du Devon au sud-ouest de l'Angleterre qui les acclimatent avant de les diffuser par la suite dans les parcs et les jardins du reste de l'Europe. L'établissement a été rachetée en 1969 par St. Bridget Nurseries. Lire 'The House of Veitch', publiée en 2002 par la RHS*, toujours commercialisé.
    nmauric© Jardin! L'Encyclopédie 30.04.2006
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aesculus hippocastanum en fleurs fin avril





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