Abutilon striatum, Abutilon pictum  - Abutilon strié
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    Nom commun : Abutilon strié, lanterne chinoise, érable à fleurs, érable de maison, érable d'appartement, nommé localement en brésilien 'Farolito japonés, Sininho' et par les anglophones 'Redvein Indian mallow, Indian mallow, Red Vein Indian Mallow', au Mexique c'est l'Aretito, en allemand 'Bunte Samtpappel, Schönmalve', en chinois 'Jin ling huâ', en japonais 'Kifabuchiron, Shoujouka' (nom donné aussi à la Drosophile, une mouche d'un brun roux au yeux rouge Drosophila Melanogaster), en espagnol 'Abutilón', en portugais 'Campainha, Lanterna-chinesa', en russe "Abutilon polosatyy" (strié), en suédois 'Fläckmalva' (mauve tachetée), à Hawaï 'Lantern ilima, Royal ilima'.
    Nom latin : Abutilon striatum Dicks.* ex Lindl.* (1839) est un des synonymes retenus pour Abutilon pictum Gillies ex Hook. & Arn.) Walp.* (1842), Abutilon pleniflorum N.E.Br., Abutilon pseudostriatum Hochr., Abutilon striatum Dicks. ex Lindl., Abutilon striatum f. palmatifidum Ekman, Abutilon thompsonii H.J.Veitch, Abutilon thompsonii André, Abutilon venosum Lem., Abutilon venosum var. brevicalyx K.Schum., Abutilon venosum var. lanatum K.Schum., Sida picta Gillies ex Hook., Sida striata (Dicks. ex Lindl.) D. Dietr., demeure non résolu Sida venosa A.Dietr.
    Dans Flora do Brasil, synonyme de Callianthe striata (Dicks. ex Lindl.) Donnel
    famille : Malvaceae.
    catégorie : arbuste à l'écorce grisâtre et aux tiges ligneuses.
    feuillage : selon climat caduc, vert soutenu, des feuilles alternes, palmées de 7 à 15 cm, à 3 ou 5 lobes aigus, 3 grands et latéralement 2 plus courts, à marge irrégulièrement dentelée, et légèrement ondulée.
    port : érigé, puis étalé.
    floraison : à l'aisselle des feuilles, sur le bois de l'année, longue du printemps jusqu'en automne, nectarifère, visitée par les papillons, dans leur milieu naturel, comme tous les autres du genre, pollinisation effectuée par les colibris.
    Au bout d'un long et filiforme, pédoncule de 10 à 15 cm, fleur solitaire, pendante en forme de lanterne, à 5 pétales se chevauchant, dans un calice à 5 sépales ovales-lancéolées fortement nervurés, 5 étamines réunies en faisceau, soudées par leur filet.
    couleur : jaune orangé à orange veiné de rouge foncé à pourpre brunâtre, anthères d'un rouge violacé.
    croissance : rapide.
    hauteur : 2-3 m.
    plantation : sous climat approprié, fin février début mars. Pour une culture en pot, effectuer le rempotage à la même période.
    multiplication : par semis en mars-avril et par bouturage de tiges semi-aoûtées, dans un mélange sablonneux et à chaud, également par marcottage aérien, ne pas oublier de pincer régulièrement les pointes pour favoriser une bonne ramification.
    sol : humifère, frais, mais bien drainé.
    culture en pot : effectuer le rempotage à la même période.
    emplacement : au jardin, soleil ou mi-ombre quelques heures dans la journée, à l'abri des vents. A l'intérieur, atmosphère humide durant la période de croissance et fraîche en hiver, température idéale en hiver entre 12 et 15 °C.
    zone : 9-11, U-K hardiness H2, USDA zone 8b-10b jusqu'à -9°/-10° C, une fois installé, tolère bien des périodes de sécheresse, indice sécheresse* 3/6.
    Penser à protéger la souche, en dessous de - 8 °C, à cette température, le feuillage subit des dégâts.
    origine : endémique aux forêts ombrophiles du sud-est du Brésil, dans l'État du São Paulo qui jouxte l'État du Paranà et plus au sud dans l'État du Rio Grande do Sul, consulter la carte.
    Naturalisé de longue date en Amérique Centrale et dans le reste de l'Amérique du Sud.
    entretien : la taille s'effectue en principe au début du printemps, avant la floraison, qui a lieu sur le bois de l'année, si nécessaire pour conserver un port compact, rabattre 1/3 en mars et par la suite, pincer les bourgeons terminaux, pour favoriser la ramification.
    Il est plus florifère, si la période de repos, s'effectue à une base température entre 12-15°. Au jardin, en dessous de - 8 °C, penser à protéger la souche avec un bon paillis ou prévoir un voilage d'hivernage.
    Il faut lui éviter les brusques écarts de température au printemps et en automne, qui peut provoquer la chute du feuillage et la perte des boutons floraux et des fleurs.
    Abutilon × milleri
    Abutilon × milleri © Ch. Reymond
    culture en pot : prévoir un mélange de terreau de feuilles, tourbe et sable. Arroser copieusement durant la période de croissance, effectuer un apport d'engrais pour plantes à fleurs, une fois par semaine de février jusqu'en août, puis, réduire l'apport en eau durant l'hiver et conserver la potée à l'abri du gel, loin d'une source de chaleur.
    maladies et ravageurs : comme tous les autres du genre, il peut être sujet aux pucerons (aphids), aux acariens (red spiders), aux cochenilles (scales insects), aux thrips en atmosphère trop sèche et à l'intérieur aux aleurodes des serres (greenhouse whitefly). Les tortues adorent manger ses fleurs.
    C'est vers l'année 1904, que, le botaniste, généticien allemand Erwin Baur (1875-1933), qui est considéré comme le père de la virologie végétale, a initié avec l'observation en Suisse de la chlorose infectieuse du Ligustrum vulgare, il a constaté que la "panachure infectieuse" de l'Abutilon striatum, était dû, à un bégomovirus bipartite (mosaïque) qui affecte au Brésil, la structure du chloroplaste* des Malvacées, qui pouvait être reproduite en greffant des espèces de Malvacées avec ce dernier.
    NB : son nom Abutilon vient de l'arabe 'aboutiloun', nom qui lui a été donné par le médecin-philosophe arabe Abu Alli Ibn Sina, auteur du célèbre 'Kitab al-Shifa', Le Livre de la Guérison ainsi que le 'Qânûn' ou 'Le Canon de la Médecine', plus connu sous le nom d'Avicenne (980 - 1037), d'ailleurs l'un des Abutilon, lui a été dédié l'Abutilon d'Avicenne*.
    Ce genre comprend une centaine d'espèces, majoritairement des persistants, originaires de l'Amérique tropicale et subtropicale. Les espèces caduques, originaires du Chili, sont aussi classées dans le genre Corybabutilon.
    Certaines d'entre elles, ont des propriétés médicinales, comme les Abutilon indicum, A.theophrasti, et le sud américain Abutilon venoso à fleurs jaunes veinées de rouge, qui est localement appelé 'Manocillo, Chanita, Mazapa' ou 'Quesito', qui est réputé pour avoir de nombreuses propriétés curatives dans diverses pharmacopées.
    Sous climat doux, cet Abutilon strié a sa place en sujet isolé ou regroupé à plusieurs pour former un massif arbustif, aussi dans des massifs fleuris ou arbustifs, palissé contre un mur ensoleillé, ou guider, sur une clôture, un treillage ou une pergola ou encore, dans des potées que l'on rentre sous serre froide durant l'hiver, entre 10 à 15 °C.
    Introduction en Europe :
    L'Abutilon strié a été introduit à l'origine dans le jardin botanique de Glasgow par le collecteur John Jales Tweedie* (1775-1862), collecté dans la Banda Oriental, à l'est du fleuve Uruguay, et par M. Gardner depuis les Organ Mountains au sud du Nouveau-Mexique, relaté le 20 décembre 1840, dans Paxton's Magazine of Botany, volume 7, p. 54-54 de 1840. Après l'avoir été testé dans les jardins, aux alentours de Londres, mais qu'ils avaient conservé durant l'hiver auprès d'un poêle, en conclusion, ceux qui l'ont cultivé et observé, le considèrent, comme une plante éparpillée et impropre à des fins ornementales, à cause de la faiblesse de ses tiges et de la grande distance entre le feuillage, une espèce impropre aux collections communes, bien qu'en 1838-9, il passe l'hiver sans aucune protection, au sud de Londres à Clapham.
    En 1889, dans la revue d'horticulture gantoise, Flore des serres et des jardins de l'Europe (1845-1888), Tome XVIII, p. 33, Louis Van Houtte* écrit une note à propos de l'influence pathologique exercée par le greffon, en parlant de l'Abutilon thompsoni, sous le titre :
    De l'influence de la greffe sur le sujet :
    "L’on sait que, dans ces derniers temps, horticulture s'est évertuée à croiser sans cesse et à jouer à certains botanistes, le mauvais tour de les dérouter ; ils maudissent « ces singes audacieux qui usurpât la mission divine! » Il est de fait que, tandis que ces savants dissertent unguibus et rostro* sur la valeur scientifique d'une espèce, on voit, de par le monde, « un tas d'ignares jardiniers, peu soucieux des grands intérêts de la science, » se livrer à des croisements indécents à l'aide de ce pollen procréateur qui s'en va brouiller les cartes en portant de fleur en fleur lesrudiments d'êtres nouveaux, « véritables arlequins, MONSTRA, HORRENDA (horrible monstre), bâtards, métis stériles, » etc., etc. Ces nouveaux venus en montrant parfois leurs ovaires fertiles, berceaux de foetus bien autrement déroutants encore, portent à son apogée l'exaspération de ces Messieurs qui admirent la nature, les astres, etc., et qui ne songent pas que, bon gré malgré, il faut qu'ils en fassent leur deuil ; qu'il faut que le soleil protège l'horticulture ornementale au même titre que le flambeau de la science", article repris en 1902.
    Parmi les cultivars, citons :
    - Abutilon pictum 'Milleri', commercialisé également sous Abutilon × milleri Hort.*, l'Abutilon de Miller, nommé par les anglophones 'Miller abutilon, Trailing Abutilon', est issu de croisements entre Abutilon pictum et Abutilon megapotamicum, dont il a hérité le calice rouge foncé à rouge orangé soutenu, des fleurs de 4 cm, d'un jaune soutenu à jaune abricot veiné de rouge, feuillage vert foncé, un arbuste de 2 m au port arqué.
    Abutilon pictum'Thompsonii
    Abutilon pictum 'Thompsonii'
    Il a été primé par la RHS* avec The Award of Garden Merit. Dans Londres, il fleurit durant l'hiver, au coeur de Westminster à Eccleston Square* et l'espèce type peut être vu à Kew dans Temperate House.

    - Abutilon pictum 'Redvein', de grosses lanternes ventrues d'un jaune orangé avec des veinules baveuses et hachurées d'un éclatant rouge entre le rouge garance et le rouge cinabre et des étamines d'un rouge bourgogne avec des anthères safranées, photo dans Flickr ©Bruno Arine

    - Abutilon pictum 'Thompsonii', une ancienne obtention dû à M. Veitch*, l'Abutilon de Thompson, nommé en japonais 'Ukitsuriboku' (arbre flottant), 'Shöjö hana, Shojoka' (Fleur de Shojo), arbuste qui avoisine 3 m, selon climat, feuillage persistant ou semi-persistant, d'un vert foncé panaché de jaune, sous forme de marbrures, longue floraison de mai jusqu'en octobre et plus, de fleurs couleur saumon veiné de rouge cramoisi. Il tolère jusqu'à - 5 °C.
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    Dans l'abécédaire, consulter la liste des autres espèces présentes dans l'Encyclopédie.

    Annotations :
    *Abutilon d'Avicenne, c'est Abutilon avicennae Gaertner, synonymes Abutilon theophrasti Medikus, connu aussi sous le nom d'Abutilon de Théophraste, une annuelle à feuillage duveteux, aux fleurs d'un jaune pâle, considérée comme une adventice, figurant sur la liste des espèces envahissantes dans certains pays, déconseillée de planter dans les jardins du sud de la France.

    *caranda, c’est le nom donné aux fibres de palmiers, comme celles du buriti Mauritia flexuosa, et celles du Copernicia.

    chloroplaste un des 3 composants de la structure des feuilles, consulter la fiche explicative sur Unisciel, Universités numériques. ou Nagwa, plateforme éducative britannique.

    *Dicks., abréviation botanique pour le botaniste, mycologue et pépiniériste collectionneur James (Jacobus) J. Dickson (1738-1822) qui, avec l'aide de l'horticulteur William Forsyth (1737 - 1804), dédie sa pépinière de Coven garden, aux cryptogames (mousses, fougères, lycopodes).
    Quarante et une espèces lui sont dédiées sous la forme dicksonii, dicksoniana, dicksonioides, dickson.
    En 1788, il participe à la fondation de la Société Linné de Londres, puis en 1804, à celle de la Société Royale d'Horticulture (RHS*).

    *Eccleston Square à Pimlico (Cubitt 1828), de 1.2 hectare (3 acres), a subi des dégâts avec la tempête de 1987. Il possède la collection nationale de Ceanothe qui comprend plus de 70 espèces et cultivars, une vingtaine de pivoines arbustives, une collection de 150 roses thé et rosiers grimpants, une collection de 124 camélias et fougères, ouvert au public chaque année, durant The National Garden Scheme, consulter l'inventaire des collections pour une visite durant le reste de l'année, il suffit débusquer un détenteur d'une clé.
    *Hort., abréviation de la nomenclature botanique qui vient du latin 'hortulanorum' qui signifie des jardiniers, qui désigne un horticulteur inconnu. C'est un nom utilisé dans les anciens ouvrages horticoles, mais qui n'a jamais été correctement publié ou établi par son obtenteur.

    *Indice, indices de résistance à la sécheresse : indice : 1 - jusqu'à 1 mois sans eau, indice: 2 - jusqu'à 2 mois sans eau, indice: 3 - jusqu'à 3 mois sans eau, indice: 4 - jusqu'à 4 mois sans eau, indice: 5 - jusqu'à 5 mois sans eau, indice: 6 - jusqu'à 6 à 7 mois sans eau, correspond à des zones désertiques.

    *Lindl., abréviation botanique pour le botaniste britannique John Lindley (1799-1865), qui fut l'un des premiers à occuper une chaire de botanique à l'Université de Londres et de Cambridge, l'assistant de Bank's, nommé en 1822, secrétaire de la Royal Society of Horticultur (RHS*).
    Le spécialiste des orchidées et de leur hybridation, on lui doit les descriptions des 77 espèces découvertes par Thomas L. Mitchell, lors de ses trois expéditions en Australie orientale, vers 1838 et par la suite, celles, découvertes en Australie occidentale par Drummond et Molloy. En 1838, son intervention a permis de sauver Kew Garden de la destruction.

    *Paxton, abréviation botanique pour le jardinier-architecte anglais Joseph Paxton (1803-1865), qui démarre sa carrière comme jardinier en chef des jardins du Duc William Cavendish à Chatsworth. En 1832, il entreprend d'y réaliser Regia Victoria House, une serre avec bassin où il installe le gigantesque nénuphar Victoria regia donné par la RHS de Kew en 1849, également, une autre serre pour y conserver les régimes de bananes Cavendish, des modèles pour entreprendre à Hyde Park, le célèbre Crystal Palace* de la grande exposition de 1851.
    En 1831, il publie le mensuel 'The Register horticulture' et durant 4 ans, il initie 'Paxton's Magazine of Botany,... ', en 5 volumes qui paraissent de 1834 à 1838. En 1941, il fonde, The Gardeners' Chronicle en collaboration avec d'autres botanistes comme Lindley. Abréviation botanique officielle : Paxt.
    Le Crystal Palace, ou la grande exposition de 1851, consulter le Victorian web.

    *RHS., abréviation pour The Royal Horticultural Society, la Société Royale d'Horticulture, fondée à Londres le 7 mars 1804, elle décerne chaque année à de nouvelles obtentions, "The Award of Garden Merit" (AGM), au cours du Chelsea Flower Show, qui se déroule 5 jours durant du 23 au 27 mai à l'Hôpital Royal de Chelsea, à Londres. C'est l'une des plus grandes expositions florales au monde.

    *Tweedie, botaniste, collecteur britannique John Jales Tweedie (1775-1862), qui fut le jardinier en chef au Jardin botanique d'Édimbourg, en 1825 il s'installe au nord-ouest de l'Argentine (indépendante depuis 1816) à Santa Catalina, il fut le premier botaniste à explorer l'Argentine qui jusqu'en 1816 était sous contrôle espagnol, qui avait refusé l'accés à 2 reprises auparavant à Jseph Banks. Entre 1825 et 1832, il collecte pour enrichir les collections sur la flore d'Amérique du Sud gérer au jardin botanique de Glasgow par W.D. Hooker et Arnott, adressant des graines et des spécimens également aux jardins botaniques de Liverpool, Dublin et Kew. Hooker et Arnott lui dédie un genre Tweedia, dans la famille des Asclépiadacée.

    *Unguibus et 'rostro', se traduit par "à bec et à griffes, des ongles et du bec", qui signifie se défendre avec toute sa vigueur, sans lâcher prise, c'est la devise de la ville d'Avignon qui est écrit dans les Armoiries.

    *Veitch., horticulteur-explorateur écossais John Gould Veitch (1839- 1870), qui recueille des espèces à travers le monde pour le compte des célébrissimes pépinières James Veitch & Sons (1808) d'Exeter- comté du Devon au sud-ouest de l'Angleterre qui les acclimatent avant de les diffuser par la suite dans les parcs et les jardins du reste de l'Europe.
    La RHS à partir de 1869, décerne chaque année la Médaille commémorative Veitch 'en l'honneur de James Veitch) qui est décerné à des jardiniers, collecteurs, botanistes ou scientifiques de toute nationalité, qui ont contribué et marqué leur époque par leurs actions.
    En 1868, un genre de palmier d'Océanie porte le nom de Veitchia (Arecaceae) et de nombreuses espèces collectées, introduites ou d'hybrides obtenus, sous la forme veitchii, veitchiana, veitchianum.
    L'établissement de James Veitch a été racheté en 1969 par St. Bridget Nurseries. Lire 'The House of Veitch', publiée en 2002 par la RHS*, toujours commercialisé.

    Van Houtte, célèbre horticulteur, collecteur, collectionneur flamand Louis Benoît Van Houtte (1810-1876), pépiniériste ayant 50 serres consacrées aux plantes exotiques collectées en Amérique centrale et Amérique du Sud. Il est considéré comme le père de l'horticulture gantoise, en 1840 il y créa une école d'horticulture.

    *Walp., abréviation botanique pour le botaniste, naturaliste allemand Wilhelm Gerhard Walpers (1816-1853), auteur du 'Repertorium botanices systematicae' publié en 6 volumes à partir de 1842. Un genre de Flora capensis lui a été dédié Walpersia dans la famille des Leguminosae.
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