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Nom latin : Fagus sylvatica L.*, synonymes Castanea fagus Scop., Fagus aenea Dum.Cours., Fagus asplenifolia Dum.Cours., Fagus cochleata (Dippel) Domin, Fagus comptoniifolia Desf., Fagus crispa Dippel, Fagus cristata Dum.Cours., Fagus cucullata Dippel, Fagus cuprea Hurter ex A.DC., Fagus incisa Dippel, Fagus pendula (Lodd.) Dum.Cours., Fagus purpurea Dum.Cours., Fagus purpurea var. roseomarginata Cripps, Fagus quercoides (Pers.) Dippel, Fagus salicifolia A.DC., Fagus sylvestris Gaertn., Fagus variegata A.DC., et 15 Fagus sylvatica var. et 17 Fagus sylvatica f., retenus en synonymes. illustration : planche 296, dans l'Atlas des plantes de France utiles, nuisibles et ornementales par Amédé Masclef*, vol. 3, édité en 1891 à Paris, contribution de Real Jardín Botánico de Madrid, Espagne. famille : Fagaceae. catégorie : arbre d'une grande longévité, au système racinaire pivotant puis traçant superficiellement, ramifié et très étendu, à la ramure basse et à l'écorce grise. port : érigé, houppier large et arrondie au-dessus d'un fût cylindrique, régulier, à l'écorce grise et lisse. feuillage : dense, caduc, d'un vert foncé brillant, virant à l'automne au jaune puis au bronze, brun bien souvent marcescent. Les bourgeons sont longs et pointus et les feuilles à marge poilue et nervures marquées, sont alternes, plissées, pliées, exactement comme dans le monde de l'origami avec la figure Miura-ori, il en va de même pour les charmes Carpinus. C'est la plante hôte, de papillons de nuit, comme le Stauropus fagi, l'écureuil ou le bombyx du Hêtre. floraison : au printemps, suivie de fruits ligneux. illustration : planche 235, une gravure sur bois du célèbre illustrateur botanique français, Auguste Faguet (1841-1886), figurant dans le volume 6 de l'Histoire des plantes du médecin, botaniste, Henri Ernest Baillon (1827-1895), consulter sa https://cths.fr/an/savant.php?id=2466" target="_blank">biographie, source le Comité des travaux historiques et scientifiques. fruits comestibles : sur des arbres ayant entre 60 et 80 ans et tous les 2 ansdes cupules triangulaires, ligneuses, appelées faînes, s'ouvrant à l'automne, pour libérer des graines oléagineuses. Des faînes dont raffolent les rongeurs et les sangliers, les cervidés, les petits mammifères et les oiseaux comme les pinsons et consommées en période de disette. sol : humifère, frais, acide ou neutre ou alcalin, il supporte les sols peu fertiles, mais, il a besoin de champignons mycorhiziens pour son développement et survivre. croissance : lente. hauteur : 30 à 40 m, vers 12 m, son envergure avoisine les 8 m. plantation : à racines nues de l'automne à l'hiver, de novembre jusqu'en mars pour confectionner une haie, protéger les jeunes sujets du gel, car ils sont sensibles aux gelées tardives, au moment du débourrement des bourgeons. multiplication : par semis et par greffage pour les variétés. sol : humifère, frais, pas trop acide, et bien drainé ; il se sent mieux sur un sol calcaire, il supporte les sols peu fertiles, mais pas trop caillouteux pour son développement racinaire. Déteste les sols gorgés d'eau. emplacement : dans la nature, les jeunes plants croissent à l'ombre ou à mi-ombre, puisqu'il s'agit d'une essence forestière, mais adulte, il supporte le soleil, excepté les cultivars au feuillage doré. Exposition idéale, les versant Nord, Nord-est et Nord-ouest. zone : 4-10, U-K hardiness H6, USDA hardiness zones 4-9, sous climat tempéré humide, avec des précipitations tout au long de l’année. Il est peu sensible aux gelées précoces, mais il supporte mal de longue période de sécheresse en été. origine : dans les forêts tempérées de l'Europe jusqu’à 1500 m, depuis le sud de la Suède et de la Norvège jusqu'au centre de l'Espagne et le nord du Portugal, et à l'est, jusqu'à la Crimée, à l'est jusqu'aux rives de la lmer Caspienne où l'humidité atmosphérique est élevée. En France, il est largement présent dans les Vosges du Nord, où il représente 50 % de la forêt. Dans le Jura, côté Jura suisse, il représente 36 % de la forêt, qui est menacée par le manque de pluies et la hausse des températures. Depuis la sécheresse de 2018, les hêtres sèchent massivement sur pied et pourraient y disparaître. Lire l'article dans le letemps.ch. Présent dans le Massif central* sud et les Cévennes jusqu'à 800 m, et les Pyrénées occidentales et orientales. Il serait absent dans la plaine d'Alsace, en Champagne crayeuse et dans la Sologne, où le sol ne lui conviendrait pas. entretien : il ne nécessite peu ou pas de taille, juste les branches endommagées et le bois mort. Si nécessaire, la taille s'effectue à la fin de l'hiver (novembre-décembre) ou au début du printemps (février-mars), ce qui se pratique lorsqu'il est est utilisée sous forme de une cépée. maladies et ravageurs : il est sensible à l'oïdium, peut être sujet aux pucerons (aphids), ainsi qu'aux cochenilles laineuses de l'écorce du hêtre Cryptococcus fagisuga qui provoquent la maladie corticale du hêtre, voir sa fiche technique sur ephytiaInra. Lorsqu'elle est associée à un champignon le Cryptococcus fagisuga (beech scale), la conjonction, provoque le chancre, qui signale sa présence par des taches qui suintent, consulter sa fiche technique sur ephytiae Inra ; en anglais ag.umass.edu, University of Massachusetts. Il est aussi sensible à l'Armillaire couleur de miel Armillaria mellea (honey fungus).
Le nom commun de hêtre, viendrait du francique 'haistr', un mot, qui le désigne, et qui a donné, hestre avant de devenir hêtre. Dans les régions qui leur conviennent, où ils cohabitent souvent avec le chêne rouvre (Quercus petraea), les hêtres forment de magnifiques futaies. Hors des forêts, il peut être utilisé, en sujet isolé, dans les parcs et les grands jardins, il est aussi intégré aux haies champêtres, puisqu'il supporte les tailles occasionnelles et le recépage. Il est aussi, cultivé, sous forme de bonsaï. Il fait partie des essences nobles sélectionnées par les forestiers, pouvant être tricentenaire, qui prospère sur une grande partie de l'Europe. En janvier 2023, a été élu le plus bel arbre de France, un hêtre pleureur, aux branches noueuses, d'une envergure de 20 m, planté vers 1880 à Cassel, un village du nord, sous lequel se rendent les jeunes mariés, article de la région des Haut-de-France. Dans la forêt de Brocéliande, le légendaire Hêtre de Ponthus, aux branches tortueuses, vieux de 300 ans, classé parmi les arbres remarquables de Bretagne, lié aux mythes et légendes arthuriennes de Brocéliande. Il était le gardien séculaire des ruines du château de Ponthus qui aurait été détruit par du Guesclin, mais n'a pas résisté aux vents violents lors de la tempête Ciaran, le 3 novembre 2023. Elle est arrivée après une période régime de pluies automnales qui ont gorgé les sols en eau. Voir photo en 2012 photo et lire l'article de publié par France3-Bretagne. Concours : Comme chaque année, a démarré, jeudi 1er février 2024, le concours organisé par plusieurs pays membres de l’Union européenne permettant de désigner l'arbre européen de l'année. Cette année, 15 pays sont en lice pour un titre européen, dont la France, qui est représentée par un hêtre pleureur du Calvados, situé dans le jardin botanique de la ville de Bayeux. Votons jusqu'au 22 février 2024 à 16 heures, sur treeoftheyear.org. Il a déjà remporté le Prix du public pour le concours national de l'arbre de l'année, organisé par le magazine Terre Sauvage et l'Office national des forêts. Un têtard géant, tortueux et pleureur de 160 ans, de 17 mètres de haut, au port étalé et tordu sur une largeur de 40 mètres, couvrant une surface de 1 250 m. Il s'agirait d'un Fagus sylvatica f. tortuosa greffé sur le tronc d'un hêtre commun (Fagus sylvatica), voir photo de Yannick Morhan, un grand format qui charge lentement. Au sud-ouest de la Pologne ,en Basse-Silésie, à l'Arboretum de Wojslawice, se trouve un hêtre commun, vieux de 200 ans, qui participe, lui aussi à ces deux concours, voir photo. Changement climatique : Impact sur les hêtreraies, source INRA Science & Impact. "Dans le cadre du réchauffement climatique, le maintien des populations naturelles de la limite sud de l’aire de répartition de nombreuses espèces forestières est aujourd’hui fortement menacé. La France est particulièrement concernée car ce type de populations est présent dans le sud du pays. La base de données BeechCOSTe52 permettra de connaître la sensibilité des hêtres français dans leur marge méridionale et d’identifier les populations les plus à risque. Enfin, elle pourra servir à mettre en place des outils de gestion comme le transfert des arbres dans le contexte de la migration assistée des populations visant à compenser les effets du changement climatique. Un travail coordonné par les chercheurs de l’Inra et de l’Université de Helsinki met à disposition de l’ensemble de la communauté scientifique une base de données unique au monde, regroupant plus de 860 000 mesures des traits phénotypiques sur plus de 500 000 hêtres issus de plantations de 38 pays européens couvrant ainsi l’ensemble de l’aire de répartition du hêtre. Ces données compilées sur plus de 15 ans sont capitales pour analyser et comprendre l’adaptation de ces arbres au changement climatique, et son effet sur leur répartition géographique en Europeé, consulter le site de INRA, publiée, le 31 juillet 2018. Propriétés et utilisations : Jadis leurs faines au petit goût de noisette, grillées à sec dans une poêle et consommées sans excès, parce qu'elles contiennent de l'acide oxalique et elles étaient utilisées pour l'alimentation des porcs, et en période de disette, comme substitut de café. On en tirait aussi une huile alimentaire. Aujourd'hui, elles font juste les délices des sangliers. Fagus vient d'ailleurs du grec fagos qui signifie manger. Son bois au grain très fin est homogène, dur et résistant, jaune clair à jaune rosé, a de multiples usages en ébénisterie, sculpture, menuiserie, pour la confection de siège, d'escalier, d'ameublement et d'objets courbés, puisqu'il, peut être assez facilement cintré. Utilisé aussi, pour la production de lames de parquet, et c'est lui qui sert pour la confection des plateaux de fromages, parce qu'il respecte le fil des couteaux et aussi la fabrication de pâtes à papier et de papier et comme bois de chauffage. Il figure parmi les meilleures essences de bois ayant un haut pouvoir calorifique, il se consume lentement, en diffusant une chaleur constante et en brûlant, sans étincelles et sans odeur désagréable, et bien au contraire, il est souvent utilisé pour le fumage des aliments et surtout, son temps de séchage est très réduit, passé 2 ans, il perdrait ses propriétés, alors que pour d'autres espèces, c'est le temps de séchage minimum. S'il est acheté vert, il faut le stocker durant un an et demi avant de le faire brûler, à moins qu'il n'ai était séché en étuve, ce qui lui fait perdre environ 20% de son humidité, alors, il peut être, immédiatement utilisé pour un foyer fermer. Le taux d'humidité est facilement testable avec un petit hygromètre à 2 pointes. Masse volumique du bois de hêtre de 600 à 750 kg/m3, son rendement est de 2 000 kWh par m3 apparent, comme pour le bois de chêne, de charme, de frêne, d'érable et d'orme. Consulter la fiche technique sur les propriétés physiques, mécaniques et acoustique du bois de hêtre, établie par le cirad.fr TROPIX 7*.
Autrefois, les faînes après avoir été bouillies, elles étaient broyées et réduites en pâte riche en matière grasse, réputée pour ses propriétés antiparasitaires, et donnée pour vermifuger. Ce bois, n'est exploité par les forestiers que lorsque qu'il atteint au minimum l'âge de 100 ans, la France est un des principaux producteurs de bois de hêtre avec l’Allemagne et la Roumanie. Dans l'indicateur 2023, sur le prix de vente des bois sur pied en forêt privée, il est indiquer pour l'hêtre : "Pour la deuxième année consécutive, les cours du Hêtre continuent leur progression pour revenir au niveau de 2014/2015 et dépasser la moyenne des 15 dernières années. Le prix s’établit à 52 €/m3 (pour un volume unitaire moyen de 1,7 m3 ), contre 46 €/m3 en 2021, en hausse de 11 %. Les tensions actuelles sur le marché du Chêne et les difficultés d’approvisionnement qui en découlent encouragent les acheteurs à reporter leurs achats et substituer des débouchés avec d’autres essences. De même que les exportations de billes et les commandes sur les meilleures qualités (déroulage), et la meilleure valorisation des bois de qualité secondaire, participent à l’augmentation des prix. Toutefois, les prix dans l’Est de la France sont impactés par la poursuite des dépérissements, conséquences des derniers étés secs et chauds, conduisant à une dégradation de la qualité des bois. Deux variétés remarquables, qui ont frappé l'imaginaire populaire, ont été trouvées dans la nature : - Fagus sylvatica var. purpurea, l'Hêtre pourpre, dont le premier exemplaire a été découvert à la fin du 17ème siècle et dont dérivent les nombreux cultivars à feuilles allant du cuivre au pourpre foncé. - Fagus sylvatica var. tortuosa, le Faux de Verzy (s'écrit aussi Fau), Hêtre tortillard, 4 à 5 m de haut, aux formes très tourmentées. De très vieux exemplaires ont été trouvés, en particulier, en France, dans la forêt de Verzy, dans la Marne. Parmi les nombreux cultivars, citons : Il existe plus d'une quarantaine de cultivars, de hauteurs et de formes variées, beaucoup sont nettement plus petits que l'espèce type. On aura intérêt à voir des sujets déjà bien développés avant de faire son choix. Si on opte pour un cultivar à feuillage doré, on le placera à l'ombre,car il ne supporterait pas le soleil, qui grillerait, ses feuilleset par contre, un sujet à feuillage pourpre, sera placé en plein soleil. - Fagus sylvatica 'Albomarginata', de 20 à 30 m, feuillage marginée de blanc crème. - Fagus sylvatica 'Ansorgei', 15 à 20 m, feuilles étroites comme des lanières. - Fagus sylvatica 'Argenteomarmorata', 15 à 20 m, feuillage marginée de blanc crème. - Fagus sylvatica 'Asplenifolia', 15 à 20 m, feuilles longues très découpées faisant penser à l'asplenium. - Fagus sylvatica 'Atropurpurea', 20m de haut, feuillage pourpre. - Fagus sylvatica 'Aurea pendula', 8 à 10 m, port pleureur au feuillage doré. - Fagus sylvatica 'Black Swan' environ 7m, port colonnaire étroit lorsqu'il est jeune, puis port pyramidal pleureur aux branches tortueuses et feuillage d'un pourpre cuivré. - Fagus sylvatica 'Cochleata', une obtention de 1840, méconnue il aurait tout à fait sa place dans les petits jardins pour sa croissance lente avec le temps 5 m. Feuillage ovale en forme de cuillère à marge dentée et ondulé d'un vert légèrement cuivré sur le pourtour. - Fagus sylvatica 'Cuprea' de 15 à 20 m, au feuillage cuivrée. - Fagus sylvatica 'Dawyck', 15 à 20 m, au port colonnaire. - Fagus sylvatica 'Dawyck Gold', 8 à 10 m, feuillage doré passant au vert clair par la suite. - Fagus sylvatica 'Dawyck Purple', 8 à 10 m, feuillage pourpre. - Fagus sylvatica 'Franken' de 10 à 15 m, étonnant feuillage vert au débourrage virant au blanc, blanc beurre irrégulièrement maculé, marbré de vert acide et vert chartreux. - Fagus sylvatica 'Grandidentata', 20 m , feuilles fortement dentées. - Fagus sylvatica 'Laciniata', 20 à 25 m, comme son nom l'indique feuilles laciniées. - Fagus sylvatica 'Mercedes' ne mesure que 1.5 m à 2 m de haut. - Fagus sylvatica 'Purpurea Nana' de 1 m. à 1.5 m, seulement. - Fagus sylvatica 'Pendula', 25 à 30 m de haut, au port pleureur. - Fagus sylvatica 'Purple Fountain', environ 4 m, port étroit, feuillage pourpre. - Fagus sylvatica 'Purpurea Pendula' de 10 à 15 m, au port pleureur et feuillage pourpré. - Fagus sylvatica 'Quercifolia', 15 à 20 m, feuilles fortement dentées rappelant celle des chênes. - Fagus sylvatica 'Red obelisk', au port rectiligne fastigié, feuillage rouge cuivré. - Fagus sylvatica 'Rohan Gold', 8 à 10 m, feuillage doré. - Fagus sylvatica 'Rohanii', feuillage pourpre foncé largement et irrégulièrement marginée de framboise. - Fagus sylvatica 'Rotundifolia', 15 à 20 m, feuillage rond. Quelques autres espèces : - Fagus crenata, Blume, Buna, Hêtre crénelé, Hêtre de Siebold, Japanese beech, Siebold's beech, originaire du Japon, H. = 30 m, écorce blanche, il est recherché pour confectionner des bonsaïs, zone 5. - Fagus engleriana Seemen ex Diels, synonyme de Fagus sylvatica L. var. chinensis Franchet, Hêtre de Chine, Chinese beech, de l'est et du centre de la Chine, de 10 à 20 m, zone 5. - Fagus grandifolia Ehrh., synonyme de Fagus americana Sweet, Fagus ferruginea Aiton, Hêtre à grandes feuilles, hêtre d'Amérique, American Beech., originaire de l'Amérique du Nord, 20 à 30 m., sol acide à neutre, croissance très lente, zone 4. - Fagus japonica Hêtre du Japon, présent aussi en Corée et en Chine,avoisine 15 m, zone 5. ![]() - Fagus orientalis Lipsky, Hêtre d'Orient, Hêtre des Balkans à l'Iran, Oriental Beech, 20m, assez proche de Fagus sylvatica mais sa croissance est plus rapide, zone 5. - Fagus taurica Popl., synonyme Fagus moesiac (K.Maly) Czeczott, Fagus sylvatica subsp. moesiaca (K.Maly) Szafer, Hêtre de Crimée, the Crimean Beech, originaire de l'Europe du Sud et de l'Asie Mineure, 20 m, zone 5. Découvrir les photos de plusieurs espèces au Jardin Botanique d'Iturraran au Pays basque espagnol. Annotations : *Baillon, botaniste et médecin français, Henri Ernest Baillon (1827-1895), qui, en 1894, devient Membre de la la Royal Society, auteur de nombreux ouvrages dont le Dictionnaire de botanique, en 4 volumes publié de 1876 à 1892, édité avec des gravures sur bois réalisées par Auguste Faguet, ainsi que l'Histoire des plantes en 13 volumes, édité de 1867 jusqu'en 1895. *L., abréviation botanique pour le médecin, botaniste-naturaliste suédois Carl von Linné (1707-1778), auparavant Carl Linnæus, à qui l'on doit la classification des végétaux, des minéraux et des animaux et la nomenclature binominale, basée sur la juxtaposition de deux mots en principe en latin, désignant le genre suivi du nom de l'espèce, c'est la base de la taxinomie et de la nomenclature internationale. Durant ses études de médecine, il entame la réalisation d'un herbier de la flore de Laponie qui sera suivie d'un parution 'Flora lapponica'. Il enseigne à l'Université d'Uppsala à partir de 1741, durant une année la médecine, puis, la botanique jusqu'en 1772. Il est le fondateur de l'Académie des Sciences de Suède. *Massif central, lire la publication sur les forêts du Massif centrale, du Conservatoire botanique national du Massif central, sur cbnmc.fr. Cahier des charges relatif à la révision des fiches « Conseils d’utilisation des Matériels Forestiers de Reproduction (MFR) » dans le contexte du changement climatique, télécharger le pdf, publié par agriculture.gouv. *Masclef, botaniste et illustrateur français Amédée Masclef (1858-1901). *TROPIX 7, caractéristiques technologiques de 245 essences tropicales et tempérées, figurant dans Archive ouverte des publications du Cirad, Organisme français de recherche agronomique et de coopération internationale pour le développement durable des régions tropicales et tempérées. natacha mauric © 22/10/2002 ® Jardin! L'Encyclopédie - nmauric © 22/10/2002 - ® par la Société des Gens de Lettres - Conformément aux conventions internationales relatives à la propriété intellectuelle, la reproduction électronique avec mise à la disposition du public et/ou l’exploitation commerciale sont expressément interdites. ![]() |
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