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Nom latin : Platanus orientalis L.*, après révision synonymes retenus Platanus algeriensis K.Koch*, Platanus cretica Dode*, Platanus cuneata Willd.*, Platanus digitata Gordon, Platanus digitifolia Palib., Platanus elongata Steud., Platanus insularis Kotschy ex Koehne, Platanus laciniata K.Koch, Platanus macrophylla Cree ex W.H.Baxter, Platanus nana K.Koch , Platanus nepalensis Morren, Platanus orientalior Dode, Platanus orientalis f. digitata (Gordon) Jankó, Platanus orientalis var. nepalensis (Morren) Wesm., Platanus palmata Moench, Platanus pyramidalis Bolle ex Koehne, Platanus reuteri K.Koch, Platanus umbraculifera K.Koch, Platanus undulata Steud., Platanus vitifolia Spach ex Dippel et illégitime Platanus umbrosa Salisb. famille : Platanaceae. illustration : planche 51 dans Flora rossica, volume 1 (2) (1788), contribution de la bibliothèque de l'université de Strasbourg, France. catégorie : Arbre. port : étalé, à cime large. Ecorce brun sombre à écailles rugueuses , se desquamant surtout sur sur les branches, laissant des marques d'un blanc ivoire. feuillage : caduc, coriace, vert vif, vernissé sur le dessus. Grande feuille palmée, alterne (10 - 12 cm), profondément échancrée marquée de 3 ou 5 nervures principales, palmée à 5 - 7 lobes pointus et étroits. Se teinte de roux à l'automne. floraison : au printemps (en avril-mai) en capitules groupés, monoïques, globuleux, pendants. Inflorescences mâles et femelles séparées. Bourgeons coniques à deux écailles, cachés par le pétiole des feuilles. Le pollen des platanes peut provoquer des symptômes de pollinose: conjonctivite, rhinite et/ou asthme, consulter notre dossier sur "Nos arbres, leur pollen et les allergies". fruits: en automne des akènes hérissés, ovoïdes de 2 à 5 cm), regroupés par 3 ou 6 au bout de long pédoncule. Reste une partie de l'hiver sur l'arbre. couleur : verdâtre pour les mâles, rougeâtre pour les femelles. croissance : rapide. hauteur : 30 m. plantation : à l'automne ou au printemps, attention racines pivotantes et traçantes. En alignement distance de plantation 3 à 5 m. Planter loin des édifices entre 7 et 9 m. multiplication : par semisen janvier-février lors de la chute des akènes, par également par bouture à talons et marcottage. sol : tous, même calcaire, acide ou neutre ou alcalin, sec ou frais, pauvre ou fertile ou riche. emplacement : soleil. zone : 3-10. origine : Moyen Orient, méditerranée orientale, depuis la Turquie, l'Albanie, la Grèce, jusqu'à l'ouest de l'Himalaya en zone tempérée. maladies et parasites : des taches noirâtres peuvent apparaître sur le feuillage au printemps, provoquer par un champignon (Glaeosporium nervisequm). Le flétrissement de jeunes feuilles, puis le dépérissement des pousses au printemps est provoqué par un autre champignon, l'anthracnose (Apiognomonia veneta). Sensible aussi, à l'oïdium qui provoque un feutrage blanc sur les jeunes feuilles. Un autre champigon (Dlaeosporium nervisequum) peut faire de légers dégâts, peu dommageables sur le feuillage au printemps, également des taches noires. Il est sujet au chancre coloré, provoqué par un champignon vivant à l'intérieur des tissus du bois (Ceratocystis fiambriata*), qui a été introduit en France vers 1945 sur la région Marseillaise, en provenance du New Jersey. Reconnaissable par la présence de bandes d'un brun rouge, à l'heure actuelle il n'existe toujours pas de traitement et il dépéri en 4 ou 6 ans. Il a été observé dans différentes communes en Languedoc-Roussillon, en Rhône-Alpes, en Midi-Pyrénées en 2005 puis en Aquitaine, en Savoie et dans la Loire en 2006. Le long du canal du Midi*, tous les platanes sont condamnés, en juillet 2012, 9000 d'entre eux ont été abattus, remplacés par PLATANOR® Vallis clausa, une variété de platane résistante au chancre coloré, obtenue par l'hybridation entre un platane américain et un platane d'Orient, une co-obtention (2008) de André Vigouroux de l'INRA d'Avignon et les Pépinières Rouy Imbert (Montfavet, Avignon), il reste à trouver les fonds pour les 42 000 restants. pour info : la teigne mineuse des feuilles de platane Phyllonorycter platani, un papillon semblable à la mineuse du marronnier, s'attaque aux jeunes spécimens du platane à feuille d’érable Platanus hispanica, du platane d’Occident Platanus occidentalis et du platane d’Orient Platanus orientalis. Déposant ses pontes sur le revers des feuilles situées à la basse du houppier. Des larves incolores et transparentes apparaissent courant mai-juin, creusant des galeries entre les deux surfaces du limbe des feuilles, puis courant juin, ce sont des chenilles de 5 à 6 mm, qui y creusent des mines, qui sont repérables à l'oeil nu sur les deux faces des feuilles formant des taches, plus grandes vers la fin du cycle. Puis, les papillons apparaissent en août. Ce cycle se reproduit à trois reprises au cours de l'année, mais l'ultime fois, la chrysalide demeure à ce stade tout au long de l'hiver, accrochée sur le revers des feuilles qui sont tombées au sol. L’impact n'est pas préjudiciable pour la survie du platane, il n'est que purement esthétique. Les années suivantes pour limiter ces ravages, il n'existe qu'un seul moyen, à l’automne, ramasser et brûler les feuilles. Le découvrir sur ukflymines. Cette teigne mineuse serait originaire des Balkans ou de l'Asie Mineure, sa présence a été signalée en Europe, pour la première fois, aux Pays-Bas, en 1965, au Danemark en 1978, en Angleterre en 1989, puis signalée en 2009 en Belgique. En France, consulter la répartition départementale sur oreina.org.
Ce genre, déjà présent au crétacé ne comprend que 9 espèces d'arbres caducs, originaires de l'Amérique du Nord et Mexique, de l'Eurasie et de l'Asie Mineure. Propriétés et utilisations : Son bois dur et élastique, au grain fin, est teinté de rose rougeâtre veiné de brun après étuuvage. Il est utilisé en ébénisterie et pour réaliser des billots de boucher et des établis. Recherché pour confectionner avec le tournage des crosses de fusil et carabines et des jouets. Son défaut lors du séchage, est qu'il peut gauchir. C'est un bois tendre (bouleau + peuplier) qui brûle très rapidement, en offrant de vives flambées crépitantes en produisant beaucoup moins de chaleur que les bois durs (charme, chêne, hêtre et frêne), parfait pour un chauffage rapide, dans une cheminée. Historia naturalis : Pline* l'Ancien* (0023-0079) dans Historia naturalis (Histoire naturelle), livre XII, page 476 relate à son sujet : "Mais qui ne s'étonnera à juste titre qu'on fasse venir d'un monde étranger un arbre, uniquement pour son ombragé ? Je parle du platane (platanus orientalis L. ), qui, apporté d'abord à travers la mer Ionienne dans l'île de Diomède pour le tombeau de ce héros, passa de là en Sicile: c'est un des premiers arbres exotiques qui ait été donné à l'Italie; déjà il est arrivé jusque chez les Morins (Artois); et le sol qu'il occupe est même sujet à tribut, de sorte que les nations payent pour avoir de l'ombre. Denys l'ancien, tyran de Sicile, transporta le platane dans sa capitale ; ce fut la merveille de son palais, transformé depuis en gymnase; ces arbres ne purent prendre une grande croissance. Au reste, des auteurs disent qu'il y avait alors d'autres individus de cette espèce en Italie, et nommément en Espagne. - IV. Cela se passait vers l'époque de la prise de Rome ( an de Rome 364) . Depuis, cet arbre est devenu dans une telle estime, qu'on le nourrit en l'arrosant de vin pur. On a reconnu que cet arrosement faisait beaucoup de bien aux racines. Ainsi, nous avons appris même à des arbres à boire du vin. - V. On vanta d'abord les platanes de la promenade de l'Académie à Athènes: un de ces arbres avait une racine, de trente-trois coudées, plus longue que les branches. Il existe aujourd’hui en Lycie un platane célèbre associé aux agréments d'une fraîche fontaine. Placé près du chemin , il présente en forme de maison une cavité de 81 pieds; le sommet est une forêt; entouré de vastes branches comme d'autant d'arbres, il prolonge son ombrage sur les champs avoisinants. Pour qu'il ne manque rien à la ressemblance d'une grotte, l'intérieur est garni d'un rang de pierres ponces couvertes de mousses. La chose est si merveilleuse, que Licinius Mucianus trois fois consul, et qui a été récemment légat de cette province, a cru devoir transmettre à la postérité qu'il y avait dîné lui dix-huitième, et qu'il y coucha sur un lit fourni abondamment par le feuillage de l'arbre, à l'abri de tous les vents, désirant entendre le pétillement de la pluie sur les feuilles, plus content qu'au milieu de l'éclat des marbres, de la variété des peintures et de l'or des lambris. La campagne de Véliterne offrit à l'empereur Caligula une merveille analogue : un seul platane présentait dans ses branches un plancher et de larges bancs; l'empereur y dîna, lui-même donnant sa part d 'ombre; il y eut place pour quinze convives et les gens de service : il appela ce triclinium un nid. A Gortyne, dans l'île de Crète, il est près d'une fontaine un platane célébré en grec et en latin ; il ne perd jamais ses feuilles; les fables grecques n'ont pas manqué de s'y attacher : c'est sous cet arbre, dit-on, que Jupiter eut commerce avec Europe, comme si l'île de Chypre ne possédait pas aussi un platane qui ne perd pas ses feuilles. On propagea d'abord dans l'île de Crète (l'homme est avide de nouveauté) le platane de Gortyne, et les plants reproduisirent ce défaut; car le platane n'a pas déplus grand mérite que d'écarter le soleil en été et de le laisser pénétrer pendant l'hiver. Puis, sous le règne de l'empereur Claude, un affranchi de Marcellus Aeserninus, mais qui par ambition se fit mettre au nombre des affranchis de l'empereur, eunuque thessalien très riche, transporta cette espèce de platane de Crète en Italie et dans sa maison de campagne ; de sorte qu'il pourrait être appelé un autre Denys. On voit encore aujourd'hui en Italie ces monstruosités exotiques, indépendamment de celles que l'Italie elle-même a imaginées. Tel est le platane nain, qui doit ce nom à sa petitesse forcée; car nous avons trouvé l'art de faire avorter même des arbres. Ainsi donc, parmi les végétaux aussi, il sera question de la disgrâce des nains. Ce résultat s'obtient et par la manière de planter et par celle de tailler. C. Martius, de l'ordre équestre, ami du dieu Auguste, inventa, il y a moins de quatre-vingts ans, l'art de tondre les bosquets." Consultable en ligne à la bibliothèque numérique de Lyon Numelyo. Vénéré par les Grecs pour sa longévité. Une légende rapporte que Hippocrate (460-356 avant J.C.), donnait ses consultations sous un platane à Cos (un platane qui serait âgé de 2000 ans, nommé "le platane d'Hippocrate" est visible sur la Place Platanou de l'Ile de Cos, son tronc fait 12 m de circonférence. Vers 390 avant J.C, il parvint chez les Romains qui l'introduisirent en Gaule, il était considéré comme un luxe, sa plantation était soumise à un impôt. En 1546, le naturaliste Pierre Belon* (1517-1564), envoyé en Turquie auprès de Süleyman le Magnifique par François Ier, s'arrête au cours de son voyage sur l'île de Cos. Il y découvre ce platane qu'il tente d'acclimater vers 1558, au domaine épiscopal de Tourvoie. Ce n'est qu'en 1658, qu'un exemplaire fut présenté au Château de Fontainebleau. En Angleterre, il a été introduit par Sir.N. Bacon vers 1561. Des platanes à découvrir :
Aujourd'hui, il reste quelques beaux sujets en Europe, comme en Vénitie, se trouve un arbre remarquable, l'Albero della Pace planté entr 1650-80, au jardin botanique de Padoue, classé au Patrimoine de l'UNESCO. Toujours à Padoue dans le Hortus sphaericus se trouvent d'autres arbres remarquables Ortobotanico. Trois autres sujets remarquables, se trouvent en Gréce, dans le village de Tsangarada, dans la partie orientale de la Théssalie, voir Flickr et en Turquie au coeur d'un petit village dans la province de Bursa se trouve le platane d'Inkaya, d'une circonférence de 9,20m et 35 m de haut, âgé de 600 ans découvert en regardant une comédie turc Cinar Agaci, réalisé par Handan Ipekçi, sous lequel se déroule tous les deux mois un traditionnel pique-nique familiale où sont réunis Mme Adviye, une malicieuse grand mère, enseignante à la retraite, ses disques, son vieux gramophone, ses fleurs, sa malle et ses deux fils, deux filles et petits enfants, découvrir en Flickr de krapo arboricole. Sans oublié près du lac de Uluabat, le platane pleureur de Gölazi, de plus de 735 ans. Parmi les cultivars, citons : - Platanus orientalis 'Digitata', Platanus orientalis forma digitata, au feuillage très lobé, digité. - Platanus orientalis 'Hackney', le plus profondément lobé, les nervures forment un angle aigu avec le pétiole. C'est celui que l'on peut trouver dans le centre de Londres. - Platanus orientalis 'Minaret', se différencie par des feuilles aux nervures forment un angle obtus avec le pétiole. Six autres espèces : - Platanus Kerrii Gagn, originaire d'Asie du Sud-Est (Laos), des petits akènes regroupés par 10 ou 12 et des feuilles dentées à 3 lobes. - Platanus lindeniana M. Martens & Galeotti, le platane de Jalapa, originaire d'Amérique du Nord, zones 3-10. - Platanus mexicana Moric , c'est l'Alamo en espagnol, originaire du Mexique se rencontre jusqu'au Guatemala, zones 7-10. - Platanus racemosa Nutt, synonyme retenu, Platanus californica Benth., originaire de Californie. Des feuilles duveteuses sur le revers. Trés sensible à l'anthracnose. - Platanus urigttoii S. Walts, originaire du Sud des États- Unis, en Arizon ainsi qu'au Mexique. - Platanus wrightii S. Watson, Platane de Wright, originaire d'Amérique du Nord, zones 3-10. Dans l'abécédaire, consulter les deux autres espèces présentes dans l'Encyclopédie. Annotations : *Belon, consulter dans book.google.fr, 'Voyage au Levant Pierre Belon du Mans' de plusieurs singularités et choses mémorables, trouvés en Grèce, Turquie, Judée, Égypte, Arabie et d'autres pays étrange (1553), texte établi par Alexandra Merle, collection Magellan édition Chandeigne, septembre 2001. *canal du Midi, classé en 1996 au patrimoine mondiale de l'humanité par l'Unesco. *Ceratocystis fiambriata, on le trouve cité sous le nom de Ceratocystis platani ou Ceratocystis fimbriata f. sp. platani. Lire l'Avis de l’Anses, Rapport d’expertise collective "Stratégies de lutte vis-à-vis du chancre coloré du platane (Ceratocystis platani)" Mai 2022 Pdf. *Dode, abréviation botanique pour l'avocat et botaniste français Louis Albert Dode (1827-1914), spécialiste des arbres dont le peuplier, il fut dés sa création en novembre 1905, secrétaire archiviste, trésorier de la Société Dendrologique de France sise 65, avenue de la Grande Armée, Paris (16 eme). *K.Koch., abréviation botanique pour l'abbé Karl Heinrich Emile Koch (1809-1879), botaniste, dendrologue et collecteur allemand, nommé à Berlin, directeur du Jardin botanique de l'Université Humboldt où il enseigne, il effectue des séjours dans la région du Caucase et en Turquie. *L., abréviation botanique pour le botaniste-naturaliste suédois Carl von Linné (1707-1778), avant d'être annobli en 1757 Carl Linnæus, également médecin, à qui l'on doit la classification des végétaux, des minéraux et des animaux et la nomenclature binominale, basée sur la juxtaposition de deux mots en principe en latin, désignant le genre suivi du nom de l'espèce, c'est la base de la taxonomie et de la nomenclature internationale. Durant ses études de médecine, il entame la réalisation d'un herbier de la flore de Laponie qui sera suivi d'un ouvrage 'Flora lapponica'. A partir de 1741, il enseigne à l'Université d'Uppsala durant une année la médecine puis la botanique jusqu'en 1772, il est le fondateur de l'Académie des Sciences de Suède. Auteur de 'Systema naturae, Genera plantarum' et 'Species plantarum'. *Pline l'Ancien, naturaliste et écrivain Pline l'Ancien, en latin Gaius Plinius Secundus ( 23-79 après J.C), connu aussi sous le nom de Pline le Naturaliste, auteur de l'Histoire naturelle, les livres XII à XIX sont dédiés à la botanique, et les livres XX à XXXII à la médecine de précieux recueils sur les sciences en général et de l'art de guérir à partir des ouvrages de différents écrivains et médecins qu'il a lu et compiler. L'ouvrage de référence qui durant des siècles a été considéré comme le symbole du savoir humain. *Willd., abréviation botanique pour le botaniste taxonomiste prussien Carl Ludwig Willdenow (1765-1812), qui fut également apothicaire et docteur en médecine. En 1798, il enseigne l'histoire naturelle, en 1801 il est nommé, directeur du jardin botanique de Berlin-Dahlem qu'il entreprend de remettre en état. Puis, en 1810, à l'université de Berlin, il occupe la chaire de professeur de botanique. Son herbier riche de plus de 20 000 espèces, se trouve depuis 1818 au musée botanique de Berlin où il constitue la base de l'herbier. Il fait la connaissance en 1788 d'Alexander von Humboldt, qui lui adresse ses collectes, dont il assure l'identification et en même temps, il s'intéresse à l'influence du climat sur les plantes, il y consacre d'ailleurs en 1792, un ouvrage 'Grundriss der Kräuterkunde', qui est toujours réédité. Les botanistes lui ont dédié 33 espèces de plantes et des espèces de champignons sous la forme willdenowiana et 73 sous la forme willdenowii. On lui doit de nombreux ouvrages, dont 'Florae Berolinensis Prodomus' ( 1787) et son oeuvre de référence 'Hortus berolinensis sive Icones et descriptiones, plantarum rariorum vel minus cognitorum quae in Horto regio botanico berolinensi', première édition en 1803. natacha mauric © 23/11/2001 ® Jardin! L'Encyclopédie par la Société des Gens de Lettres®Conformément aux conventions internationales relatives à la propriété intellectuelle, la reproduction électronique avec mise à la disposition du public et/ou l'exploitation commerciale sont expressément interdites. ![]() |
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